
"J'enregistre mes employés à leur insu pour les licencier et la justice m'y autorise"
La plus haute juridiction française a validé une pratique qui était jusqu'ici strictement interdite : la surveillance secrète des salariés et l'utilisation de photos ou d'enregistrements clandestin comme motif de licenciement. En cas de conflit avec un employé, certains employeurs n'hésitent pas à jouer les espions : enregistrements clandestins, vidéos captées en douce, conversations piégées à l'aide d'un téléphone dissimulé… Autant de preuves qu'ils espèrent utiliser contre leur salarié.
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